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bêlements, et nulle voix humaine ne se mêle à leurs cris. Caroline se décide alors à frapper à la porte principale ; personne ne répond encore : elle pousse cette porte qui, mal fermée, cède à son premier effort. Elle se trouve dans un vestibule de forme carrée ; elle entre à gauche dans une petite cuisine ; quelques étincelles brillent encore au travers des cendres. Caroline, que l’obscurité croissante a déjà frappée d’effroi, cherche de quoi ranimer une clarté bienfaisante ; elle trouve du bois ; elle souffle, la flamme éclaire les ob-