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appercevant un château de grande apparence, environné d’un parc d’une vaste étendue, il s’avançait jusque-là, trouvant une secrète douceur à procurer un asile à sa jeune maîtresse au moment de son réveil.

Tout à coup, Caroline entend le bruit des armes ; elle se lève précipitamment ; leur choc et les pas de plusieurs hommes retentissent à son oreille ; elle court du côté opposé à leur marche ; elle les voit à travers les arbres, mais elle les voit s’éloigner. Elle se rapproche, attend qu’ils aient disparu der-