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pierreries, enfin, si Charles Stuart les avait données, pourquoi après les avoir acceptées, les avait-on rapportées à Crumwell ; elles n’avaient pas été reçues pour trahir le donateur, puisque sa fuite était réelle ! Si on les lui avait enlevées par fraude ou par violence, ce n’était pas non plus pour les rendre. Quant à Caroline, très-certainement elle ne connaissait pas Charles II, n’avait eu, ni pu avoir aucune relation avec lui. Que de conjectures ! que de raisonnements sans aucune base fixe, et par conséquent sans résultat ! Mais une