Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 2 - 1808.pdf/199

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 195 )

qui m’avez accueilli au péril de votre vie, prenez ce diamant dont le prix peut améliorer votre sort ; et si Caroline venait se réfugier chez vous, qu’elle y trouve l’hospitalité que vous m’avez accordée. » À ces mots il les quitta ; cette fois il n’éprouva point d’obstacles à son départ, et vint aborder à Fécamp, où il se reposa de tant d’inquiétudes et de fatigues.