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guide les conduisit d’une habitation à l’autre, toujours chez de pauvres catholiques, dont les facultés ne répondaient pas à leurs désirs obligeants. Enfin ils arrivèrent chez un ministre catholique aussi, nommé Huddelstone, chez lequel ils furent mieux couchés, mieux nourris, et qui rendit au roi des services inestimables dans sa position. D’abord il lui donna des vêtements ; les siens étaient déchirés par les épines ; son linge était en lambeaux. Il lui procura un cheval et le conduisit chez le lord Wilmot, comte de Rochester le même pour qui Caro-