Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/279

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 255 )

lotson se chargea des remercîments, et milady, gênée par la présence de sa belle-fille, conserva, pendant tout le temps de la visite, les apparences d’une importante protection, que cependant ses regards hardis démentaient quelquefois.

» Ah ! c’en est trop, s’écria Charles en sortant du château ; voir le général Olivier, lui être présenté, exposer ma mère et Caroline ; non, je ne le ferai point, il n’est puissance au monde qui puisse l’obtenir de moi ! — Qui vous dit le faire ? — N’allez-vous pas encore l’exiger ? — Moi ? non.