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servir le parlement sous les ordres du général Olivier. Pendant cet intervalle, je veillerai sur les démarches de milady ; cela m’est facile, parce qu’elle ne me confie jamais rien de sa conduite extérieure, et que je n’ai jamais cherché ouvertement à en pénétrer les motifs. Ne vous effrayez point, mistriss Belmour ! croyez que je ne verrai point commettre une injustice sans m’y opposer de toutes mes forces que je vous avertirai de tout ce que vous pourrez avoir à craindre ; et que dans tous les cas possibles, je puis compter sur