Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/17

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( xvij )

les autres, deviènent un fléau pour la société. On le sait ; on peut, on doit même les dessiner d’une manière frappante dans le roman qui est l’histoire de la vie privée. Mais quelqu’horribles que soient les forfaits dont on trace l’image, encore faut-il que le goût préside au choix du sujet et à l’ordonnance du tableau. Mais ce goût fin et délicat est peu connu des Anglais. Ils parlent beaucoup de leur sensibilité ;