Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/151

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 127 )

qu’il ne voyait personne qui pût lui convenir. — « On m’a cependant parlé, dit-elle, d’une certaine mistriss Belmour, qui occupe un logis anciennement bâti pour le fermier de ces terres ; cette femme a un fils : qui sont ces gens-là ? — Mistriss Belmour a quarante ans, elle est d’une santé chancelante, ne sort jamais… — Je ne demande pas ce qu’elle fait, M. le ministre : je demande qui elle est. — Je l’ignore : John Burchill, le vieux fermier de Milord, l’amena chez lui comme une de ses parentes, veuve et sans consolation.