Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/11

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( xj )

des nuances qu’on ne saurait définir, mais qu’on saisit parfaitement, et qui rendent le tableau de la vie privée tout à fait différent dans un siècle ou dans un autre. Le roman vieillit comme les portraits de nos aïeules. Ne seraient-elles pas méconnaissables, si elles se présentaient sous nos modernes vêtements ?

Mais il y avait loin des défauts attachés au siècle, et même de ceux qu’on peut re-