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n’y paroisse rien, qui puisse déplaire à votre divine Majesté.
Je vous conjure, par votre miséricorde infinie, de jetter les yeux sur moi, & d’écouter la priére du dernier de vos serviteurs, qui manque de tout en cette malheureuse terre où il est banni, & où loin de la véritable Patrie, il se trouve enseveli dans les ombres de la mort.
Protegez mon ame, & conservez là toute pure, au milieu de la corruption du siécle ; conduisez tellement mes pas, qu’avec le secours de votre grace j’arrive enfin, par le chemin de la paix, à la gloire éternelle. Ainsi soit-il.
Fin du troisiéme Livre.