fiant aux soins assidus du duc la jeune princesse et le baby.
Cet homme se permettait de juger Andrée !
Où la morale allait-elle se nicher ?
Mademoiselle Fernez continuait d’avancer.
Elle dut s’arrêter !
Un homme de haute taille, lui barrait le passage.
Elle le regarda.
C’était Eugène Badin !
Il se dandinait d’un air satisfait, une rosette piquait du rouge sur son paletot.
— Le hasard, dit-il m’a amené ici…
Il bégayait, sous l’éclat des yeux de mademoiselle Fernez.
— Le hasard, répondit-elle, vous conduisait-il ici pour payer non les dettes des autres, mais les vôtres.
— Mademoiselle.
— Je crois que vous auriez fort à faire si vous deviez dédommager toutes vos dupes.
Elle passa.
Gustave Lebon l’attendait à la porte.
Il regarda Laurence.
— Toujours la même chose ? dit-il.
— Eh, mon cher, lorsqu’on a trouvé le bon-