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À LESBOS

On ne pouvait la blâmer, elle n’était qu’à plaindre.

À l’asile, on la garda neuf jours.

Pour elle on viola les règlements.

Vêtue chaudement, munie de quelques secours, elle put reprendre la lutte de nouveau.

Elle entra en qualité de journalière chez une chiffonnière en gros.

Son salaire ne suffisait pas à la faire vivre ! il l’empêchait de mourir de faim !


À Lesbos, vignette fin de chapitre
À Lesbos, vignette fin de chapitre