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Spiridion). Elle ne le termina pourtant qu’à l’île Majorque où elle se rendit, au mois d’octobre, avec ses enfants et Chopin, et où elle passa tout l’hiver de 1838-1839.

Ce nouveau voyage fut le début d’une nouvelle phase dans l’existence de la grande romancière ; d’autre part il peut être considéré comme l’épilogue de sa jeunesse tourmentée et orageuse. Ses doutes se dissipent complètement, surtout grâce à Pierre Leroux, — comme elle le disait souvent plus tard ; — ses vues générales et son idéal se prononcent et se dégagent définitivement ; la période de la création sereine commence. Nous nous permettons donc aussi de clore par cet épisode la première partie de notre travail.