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Chodkiewicza, par Naruszewicz. — Les Chronographes. — Annales de Nikon. — Le manuscrit des Relations de ce qui se passa à Moscou et sur le Moine défroqué. — Livre des Degrès de Latoukhin. — Annales de Rostof. — Voilà les sources dont je me suis servi pour écrire l’histoire du faux Dmitri ; mais j’ai suivi principalement les actes de l’Empire.

(145) V. Pétréjus, 285. — The Russian Impostor, 14. — Bär, appelle ce religieux, Otrépieff, parce qu’il croyait, suivant ce que les Polonais soutenaient, que le faux Dmitri, quoiqu’un fourbe, n’était pas Otrépieff. (V. plus bas).

(146) V. Tom. V, VI, IX et X de cet Ouvrage.

(147) V. Lettre du patriarche Job sur le faux Dmitri. — Relation sur ce qui se passa à Moscou, etc. — Les Chronographes.

(148) V. Niemcewicz dzieie Pan Zygmunta, III, liv. VI, p. 295). — Relation de ce qui se passa à Moscou, etc. — Annales de Nikon.

(149) V. le manuscrit contemporain sur Boris et le Moine défroqué, et les Annales de Morosoff, p. 96. — Margeret et Grévenbrouk sont aussi de l’opinion que le moine Otrépieff ne fut pas le faux Dmitri. — Gérard Grévenbrouk publia dans l’année 1609, à Cologne, son livre sur le faux Dmitri, sous le titre : Tragœdia Moscovitica sive de vita et morte Demetrii. L’auteur n’a jamais été en Russie.

(150) V. Relation de ce qui se passa à Moscou, etc. — La lettre du patriarche Job sur Dmitri.