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conclue par Boris, à cause de l’intervention du Tsarévitche. (Voyez plus haut).

(105) V. L’histoire de Palitzin, p. 7. — Margeret, p. 93. — Et The Russian Impostor, p. 13.

(106) V. Margeret, p. 111.

(107) V. Palitzin, p. 7.

(108) V. Les Chronographes.

(109) V. Annales de Nikon. — Liv. des Degrès de Latoukhin et liv. du Rosrède de l’année 1600.

(110) V. Chronique de Bär.

(111) V. Palitzin. — Annales de Nikon et liv. des Degrés de Latoukhin.

(112) Ivan Godounoff avait épousé Irène Romanova avant que ses parens tombassent en disgrâce, et c’est pour cela qu’elle ne fut pas exilée avec eux.

(113) V. dans les Archives du Coll. des Aff. étrang. les papiers sur l’exil de Romanoff. — Le couvent de Saint-Antoine fait partie de l’Éparchie d’Arkhangel. — Nos historiens ont long-temps discuté sur l’origine de l’épouse de Fédor Nikititche. Müller la croyait une princesse Sitsky et le prince Stcherbatoff, une princesse Schestounoff. — Mais elle n’était qu’une simple Schestoff, comme il est dit dans les papiers officiels concernant l’exil des Romanoff.

(114) V. le rapport de Bogdan Voyéikoff, daté du couvent de Saint-Antoine, le 25 novembre 1602.

(115) V. Dictionnaire géographique de l’empire Russe, à l’article Nirob.

(116) V. Les papiers sur l’exil des Romanoff et l’histoire de l’hiérarchie Russe, II, 647.