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était mort) et de beaucoup de Métropolitains (parmi lesquels se trouvaient ceux d’Athènes, de Lacédémone, d’Ibérie) et d’Archevêques et d’Évêques.

(123) Idem (p. 154). — Le Métropolitain de Terno, Dyonisi, quitta Moscou en février 1592.

(124) Chronique de Morosoff, et un manuscrit de ce temps, intitulé : Récit de la manière dont B. Godounoff usurpa le Trône des Tsars.

(125) Fletcher (p. 99).

(126) Chronique de Bär. — Pétréjus (p. 260). — Kelch. L. G. — Histoire d’Abraham Palitsin.

(127) Précis de l’Histoire de Russie (p. 257).

(128) Et non Marie, comme il est dit dans les Chroniques (V. dans la Collection des Actes du Gouvernement, t. II, p. 107).

(129) Annales de Nikon (t. VIII, p. 16). — Fletcher (p. 16), dit « La nourrice de Dmitri, ayant goûté le plat qui lui était destiné, mourut sur-le-champ ». Nous verrons cependant que long-temps après la bonne nourrice était encore en vie.

(130) Nikon. — Chronique de Rostoff et d’autres.

(131) Collection des Actes du Gouvernement (t. II, p. 113).

(132) Il n’est question de ces aveux que dans quelques copies de l’Annaliste de Moscou. La Chronique de Morosoff dit : « On s’empara aussitôt des assassins, on les conduisit sur la place, et les habitans leur crièrent : hommes damnés et méchans ! comment avez-vous osé commettre un tel crime » ?… Reconnaissant leur délit,