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pouvant reconnaître le père de la patrie dans un prince aussi jeune, aussi mal dirigé, ne trouvait de consolation que dans l’espérance de voir les années et la raison mûrir son caractère, éclairer son inexpérience, l’instruire des devoirs sacrés d’un souverain, et l’initier enfin au grand art de régner pour le bonheur de ses sujets.