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encore un Peter Soytt. Tout ce qui suit est puisé dans leur relation.

(10) Voyez Taube et Kruse, p. 203.

(11) Petreus, historien, etc. Von Muschkow, p. 57.

(12) Voyez Taube et Kruse, p. 203.

(13) Taube et Kruse, 204. Petreus (57) dit que Jean lisait quelquefois certains chapitres de la bible.

(14) Taube et Kruse, 204, les Annales circonstanciées, III, p. 89, il ne se mettait jamais à table qu’après avoir dit le pater noster et béni le repas ; c’est alors qu’il avait l’habitude de parler des lois de la confession grecque et autres. Il avait une pénétration d’esprit peu commune et un grand fonds de mémoire pour l’Écriture-Sainte.

(15) Taube et Kruse, 204.

(16) Ibid., 205. Ils rapportent que le tzar allait aussi à la messe de minuit.

(17) Ibid.

(18) Voyez Affaires de Pologne, no. 7, feuille 916 sur le revers : « Et si l’on demande au sujet des allemands d’Yourief (Dorpat), pourquoi le tzar les a fait transporter de Dorpat dans des villes moscovites ? Féodor aura à répondre : parce qu’ils avaient des intelligences avec le grand-maître de Livonie ; quils l’engageaient à venir assiéger la ville, et voulaient trahir notre souverain en servant le grand-maître. » Voyez aussi les Annales d’Alexandre Nevsky, 1031, Kölch, 275, Gadebusch, 51, et les Annales de Pskof, trouvées dans les archives en 1565.

(19) Voyez Arndt, 258, et Gadebusch, 52.

(20) Parmi mes papiers venus des archives de Kœnigsberg, se trouve une lettre de Weït-Zenge au margrave Albrecht, datée de Lubeck du 20 décembre 1566 : elle