Page:Kann - Journal d'un correspondant de guerre en Extrême-Orient.djvu/318

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

voyée à l’attaque de l’ouvrage ; à cinq cents mètres de l’escarpe, des rangées de cadavres semés dans le gaolian indiquaient l’endroit où elle s’était fait détruire.

La redoute était d’ailleurs un véritable ouvrage de fortification permanente ; elle avait été construite depuis longtemps, l’herbe couvrait les parapets et dissimulait les fils de fer et les trous de loup. On peut voir sur le plan ci-dessus à quel point on avait