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en proie a la désolation, les cadavres des deux royales victimes, étendus sur les divans de deuil, tandis qu’on entendait sur la route défiler interminablement l’infanterie de Niederwaldstein, et le silence n’était rompu que par les commandements militaires, car les troupes étrangères, en défilant devant le château de deuil, lui portaient les armes.