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« Qui n’aurait pitié de Ho-chi avec sa pierre sans défaut ? Comment se fait-il que le roi de Thsou n’ait pas voulu accepter la pierre précieuse qu’il lui offrait[1] ? »
Lieou-ki prend les vers, et, après les avoir lus :
« Mon frère, s’écrie-t-il, vous êtes donc réellement une demoiselle ? »
À ces mots, Lieou-fang baisse les yeux sans répondre, et tout son visage se colore d’une vive rougeur.
- ↑ Un homme, nommé Pien-ho (ou Ho-chi), ayant trouvé une pierre brute dans laquelle il soupçonnait avec raison l’existence d’une pierre précieuse, la porta au roi de Thsou, qui, trompé par l’ignorance de son lapidaire, le regarda comme un imposteur, et lui fit couper le pied droit. (Voy. Gonçalvez, Arte China, p. 354.)