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ficultés, ils se relâchent et reculent. Il vaut mieux que l’homme forme le vœu modeste d’obtenir le fruit des Çrâvakas ; il s’affranchira promptement de la vie et de la mort, et arrivera à la dignité d’Arhat.

(Extrait de l’ouvrage intitulé : le Livre des cent comparaisons, partie I.)