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LE CERF QUI SAUVE LES ANIMAUX DU NAUFRAGE[1].

(Pratiquez l’humanité.)


Jadis, dans une grande forêt, il y avait une multitude d’animaux. Le feu ayant été allumé dans une plaine sauvage, s’étendit rapidement et consuma trois côtés de la

  1. Cette légende se trouve dans les Mémoires de Hiouen-thsang, livre VI, page 337 de la traduction française.