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BALLADE.


NI-KOU-SSE-FAN.
OU
LA RELIGIEUSE QUI PENSE AU MONDE.


À la première ville, une jeune religieuse entre dans le temple ; | elle tient dans sa main un chapelet de perles blanches, et ses yeux sont mouillés de larmes. — « Pauvre jeune fille ! Quel malheur pour moi d’avoir quitté le monde ! | Je suis dans la fleur de mon printemps, et je n’ai point d’époux !  ? »