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d’ennemi qui ne fût terrassé et vaincu. Si je péris lâchement dans ce bourbier, si je ne m’en retire pas avec énergie pour défendre la cause du roi, je perdrai la réputation que j’ai acquise jusqu’ici et mon déshonneur rejaillira sur tout le royaume. »

En achevant ces paroles, il fit un effort suprême et sauva sa vie.

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tchou-yao-king.)