Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 2.djvu/106

Cette page a été validée par deux contributeurs.

cette métamorphose durerait toujours. Il prit donc le serpent venimeux et le mit dans son sein ; mais il fut mordu par le serpent venimeux et mourut sur-le-champ.

(Extrait du Livre des cent comparaisons, Pe-yu-king, partie II.)