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les paroles vraies ressemblent aux fils, le maître du champ est comme un roi de qui dépend la protection et le salut de ses sujets. »
En entendant ces paroles, le maître du champ éprouva un sentiment de joie. Il interrogea le perroquet et lui dit : « Pour qui prenez-vous ces grains ?
— J’ai un père et une mère aveugles, répondit le perroquet, et je recueille ces grains pour les nourrir. »
Le laboureur fut touché de sa piété filiale et le mit en liberté.
(Extrait de l’ouvrage intitulé Tsa-p’ao-thsang-king, livre I.)