Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/42

Cette page a été validée par deux contributeurs.

qui se trouve près de lui ne saurait lui sauver la vie. La douleur et les cris du veau ne serviraient à rien. »

(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-youen-tchou-lin, livre LII.)