Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/176

Cette page a été validée par deux contributeurs.


XXXVIII

LE CAMPAGNARD ET LE SEL.

(Ne faites rien de trop.)


Il y avait un campagnard qui ne connaissait pas le sel. Ayant vu un voisin qui mangeait de la viande et des légumes après y avoir mis du sel, il l’interrogea et lui en demanda la raison. « C’est, répondit l’autre, que le sel communique aux choses un goût excellent. »

Le campagnard se dit en lui-même :