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paraisons ou Similitudes, » en sanscrit Avadânas. De plus, tous les morceaux qu’on va lire sont tirés, soit de Recueils indiens, qui portent précisément le même nom, soit d’ouvrages bouddhiques, composés en sanscrit, où ils figurent au même titre. C’est pour ce double motif, que je me suis cru autorisé à écrire le mot Avadânas en tête de ma traduction, quoiqu’elle ait été rédigée sur un texte chinois.

L’ouvrage où j’ai puisé ces fables, allégories et historiettes indiennes, est intitulé Yu-lin, ou la Forêt des Comparaisons.

Suivant le grand catalogue de la bibliothèque impériale de Pé-king[1], « il a été

  1. Sse-kou-thsiouen-chou-tsong-mo-ti-yao, livre CXXXVI, fol. 6.