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le secret de l’île.


« Il me semble, dit Ayrton, entendre »… (Page 587.)

fluide et brisés, entre autres un de ces énormes micocouliers qui ombrageaient la basse-cour à l’extrémité sud du lac. Ce météore avait-il une relation quelconque avec les phénomènes qui s’accomplissaient dans les entrailles de la terre ? Une sorte de connexité s’établissait-elle entre les troubles de l’air et les troubles des portions intérieures du globe ? Cyrus Smith fut porté à le croire, car le développement de ces orages fut marqué par une recrudescence des symptômes volcaniques.

Ce fut le 3 janvier que Harbert, étant monté dès l’aube au plateau de Grande-Vue pour seller l’un des onaggas, aperçut un énorme panache qui se déroulait à la cime du volcan.