je ne m’en consolerais, que Caron en voyant passer la cage — cercueil aujourd’hui, — en laisserait tomber sa rame, que d’ailleurs j’allais l’ensevelir moi-même ! — triste ministerium — et que nous verserions des fleurs. Manibus date lilia plenis.
Dans un vers ingénieux, je m’étais écrié : « Maintenant, hélas ! vous pouvez planter du persil sur la tombe ! »
Le professeur a rendu hommage à ce dernier trait, mais je ne dois passer qu’après Bresslair, dont l’émotion s’est encore montrée plus vive, la douleur plus vraie. Il a eu l’idée, comme dans les cantiques, de mettre un refrain qui revient :
Eheu, quatre fois répété ! je ne puis pas crier à l’injustice. Oh ! c’est bien !
Je ne suis que second, et je n’irai pas au théâtre. C’est à s’arracher les cheveux : et je m’en arrache. Je les mets même de côté. Qui sait ?
Ils sont gras comme tout, par exemple ! Car je me pommade, maintenant. J’ai soin de moi. Je me rase aussi. Je voudrais avoir de la barbe.
Mon père cache ses rasoirs. J’ai pris un couteau que je fourre sous mon matelas, parce qu’il a le fil tout mince et tout bleu. Je l’ai usé à force de frotter sur la machine.