pendance sur le ton d’un enfant qui demande la lune, créent, étant « outcast »[1], des agitations en faveur d’un, hindouisme sans rites et sans foi appelé « brahma-samajh », et qui est à la religion des ancêtres un neutre protestantisme.
Vous pensez si Albion rit dans ses favoris roux de ces petits serpents chauffés dans son sein ; à eux tous réunis, ils ne valent pas le patriotisme ignorant et féroce d’un Nana-Sahib.
En somme, les Anglais peuvent dormir en paix ; ils connaissent trop maintenant l’âme d’enfant de ce grand peuple. Celui-ci se décompose en races différentes ; mais chacune porte trop les mêmes caractéristiques de la même décadence pour ne pas être captée par les mêmes moyens.
« Il y a trois choses qui font que les Indiens nous respectent, m’expliquait un député commissionner. D’abord notre haute taille, ensuite notre impassibilité ; enfin, la façon dont nous rendons la justice. »
Sur ces paroles, on pourrait écrire un livre. En effet, « le bel Hindou », pour qui se pâment à Londres les ladies philanthropes, n’existe pas ou reste
- ↑ Hors caste, les nouveaux parias qui protestent contre les traditions et les lois anciennes, différents des parias ordinaires, en ce qu’ils lèvent la tête et sont instruits.