A LA.-RE.Y--N.Ev MERE D Y ROY. A DAME, Ceux qui ont publié rexcelleiiee de,la vérité ont diuinement dit, que Dieu eftoic toute vérité &c que fi son essence merueilleuse se pouuoit repreíènter en vn estat.visible, il auroit pour corps la lumière :, òc là vérité pour ame ; Ainsi. 1142 feront autre chose en effet qu’vnèvérité rêsplendiísante ôC.cogneuè’, C’est de cetteviúe &£primitiue source que découlent ces belles vérités qîii ? arroiiíènt le : champ spacieux de toutes les sciences, tant diuines qu humaines, Mais dautant qu’elles paííent par tant de lieux ; qu’il est impoiTible qu elles n en reçoiuent diueríes impressions, èc qu’elles y arriuent en leur pureté j mesmes que la malice Ô^rignorançe des hommes en rompent1 le. cours, ceux qui en désirent traitter ^ mandient d’òr^ dinaire le secours de quelque authorité puifíantel-’éí. souueraine , non feulement pour couurirtes défauts de leur propre infirmité ,. mais auíB .pour preuenir &s ; estoufFer la peruersité ô£ íoibleíse. estrangere. Qr si* 9L1} : -
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