masse. Il nous mène au seizième étage et de là nous montons un escalier qui nous mène sur la terrasse. Une vue splendide s’offre à nous, l’entrée du port, les bateaux qui sillonnent, Brooklyn là-bas en face, en arrière c’est New-York avec de-ci, de-là de ces énormes constructions qui émergent des autres maisons. On doit construire encore deux étages sur cette maison pour y installer un café-restaurant.
Cela semble fou au premier abord de penser qu’un monsieur qui veut manger un morceau va grimper 17 à 18 étages pour aller au restaurant. Mais quand on voit la rapidité avec laquelle l’homme qui fait marcher l’ascenseur charge et décharge du monde à chaque étage, cela ne semble plus rien de monter, l’ascenseur n’a pas l’air de faire des arrêts. Il n’a pas plus tôt stoppé une seconde qu’il est déjà à l’étage suivant. Au-dessous du sol, il y a encore un beau café et un 2e étage sous terre pour les cuisines. C’est effrayant. J’ai compté à certains de ces immenses bâtiments 22 fenêtres l’une au-dessus de l’autre et l’étage du rez-de-chaussée très élevé. Sortant de là, nous prenons le chemin de fer aérien qui passe au milieu des rues, mais à la hauteur d’un 1er étage. Nous allons au Parc central, qui est très loin d’où nous sommes, il nous faut bien une demi-heure de chemin de fer. Là,