suite ils doivent passer sur une espèce de plateforme de trois mètres de large, formée par des cordes tendues à un mètre du plancher, comme un lit de sangles ; il faut se jeter à plat ventre sur ces cordes et traverser ainsi ; après cela deux avirons sont attachés tout près du plancher, à peine à une distance de l’épaisseur d’un homme et à plat ventre il faut passer dessous en s’amincissant. M. H… manque même d’y rester, il n’a pas été au bout où l’intervalle est le plus grand et il se trouve pris et serré sous les avirons sans pouvoir ni avancer ni reculer. Viennent ensuite les manches à air, espèces de sacs en toile à voile de 6 à 8 mètres de long et percés des deux bouts dans lesquelles il faut ramper. L’un des concurrents veut aller à reculons, le sac se roule et il ne peut plus en sortir ; quand il revient du côté où il est entré, il est presque asphyxié, aussi ne peut-il continuer. Il ne reste que deux concurrents qui ont encore à passer par-dessus une corde en forme de balançoire à 1 mètre 50 de haut ce qui est facile et à monter sur la passerelle de quart pour en descendre à l’aide d’une corde. Trois séries de quatre concurrents ont lieu et ensuite une belle entre les trois vainqueurs qui arrivent au bout épuisés. C’est vraiment très fatigant et pénible pour les coureurs.
Cette course termine la série des jeux