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ANNEXE AU PROCÈS-VERBAL.

l’Écriture, préconisés par saint Éphrem comme la seule occupation intellectuelle que pouvait se permettre un chrétien de son temps[1].

F. Nau.


OUVRAGES OFFERTS À LA SOCIÉTÉ.
(Séance annuelle du 20 juin 1899.)

Par l’India Office : Madras Government Museum, Bulletin ; vol. II, n° 3, Madras, 1899 ; in-8°.

Indian Antiquary, January et March, 1899, Bombay ; in-4o.

Par la Société : Atti della R. Accademia dei Lincei ; 1898 et Gennajo. 1899. Roma ; in-4°.

Mémoires de la Société de linguistique de Paris, t. XI, 1er fasc. Paris, 1899 ; in-8°.

Journal asiatique, mars-avril 1899, Paris ; in-8°.

Comptes rendus des séances de la Société de géographie. Paris, 1899, in-8°.

The Geographical Journal, September 1897 et June 1899. London ; in-8°.

Par le Ministère de l’instruction publique ; Bibliothèque des

  1. Enfin on remarquera, que dam notre édition, le Dialogue des lois des pays est distingué du célèbre Dialogue sur le destin adressé à Antonin. Car Eusèbe est notre seule source à ce sujet : or il mentionne dans son Histoire ecclésiastique, le célèbre dialogue sur le destin adressé à Antonin et d’autres dialogues… ; et dans la Préparation évangélique, il nous apprend que le fragment des Lois des pays cité par lui est tiré des dialogues de Bardesane avec ses disciples. On a donc eu tort de dire que ce fragment était tiré du célèbre dialogue sur le destin adressé à Antonin, car Eusèbe nous apprend le contraire : c’est l’un des autres dialogues… Du reste, le destin n’occupe que les deux tiers de l’ouvrage. C’est ce qu’a constaté Épiphane quand il a écrit que Bardesane « disputa sur le destin contre Avida ».