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profondi ce qui avait été fait jusqu'ici. On trouve aussi beaucoup d’explications nouvelles sur les termes scientifiques de la philosophie, mais ce qu'on regrette, c'est que l’auteur n'aît pas indiqué si ces résultats sont pris de son propre fonds, ou si ce sont les indigènes qui les ont fournis.

Quant à l’exposition des différens systèmes de philosophie d’après les lois mêmes de l’esprit, fl |Mtiit qu’il budra attendre que les prindpanx onvngtt ées différentes écoles soient publiés, et surtoot^isaFifi^, si tant est qu’ils soient la base de tout dé¥eiop|MiMBt inleDectud de l’Indien. On a remarqué qu’une -idoob indienne admettait pour princqpe le D^Jkmmmmy h science ou connaissance ; on sait que Fîchle MmMIttt de même. Cette identité , ce nous semble, ne que bien peu ; ce serait plutôt f identité dn^. pour y parvaiir, et nous avons des doutes quagii > > o dernier point. On a reproché à M. Frank lîékmiàé de son st^e dans sa Chrestomathie sanscrte»^ WWjf^ sa est sans doute plus ciatr, mais l’eienpiti faiocAe prouve que des matières neuves et peuvent être traitées avec une clarté qui-Mi rien à désirer ^ et sotu ce rapport f ouviuge parait être susceptible d’amélioration.

On aurait désiré que l’auteur mît quelque mesure dans sa polémique contre MM. de Schlegel, Bopp, Bernstein et autres, et qu’il n’eût pas exclu les Oupnekhat d'Anquetil du nombre des autorités ài ter sur la philosophie indienne ; une sii|i]da CÉfiMÉi des manuscrits persans ou de la traduction latine avec