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du carton de ia couverture) Tzing fu, commandant du corps-de-garde impérial de ?  ?

Selon la proDondatkiB— cUiÉoM pfaïki* ^d^ipÉÉiii il filudrait Im Têingju, inaificiaaa’lo JHUMfdhpiai y a évidemment Tzing.

D’abord 36ût remanfiier^ae k diviiioirrfe hO en troia rayanmes no tombe pas « ntMfMA/^Citf |F| domme le dît M. Neumann^ mais ^ocHox^dstoi^do 1 avènement au trône du praoûer ofwaiwg <h t J ift aV qui r^[nait sur k Chmo’iqptimrnonak>i’J>fc airt » ^tm /f, demi^ empereur des Htm^ « ëgMtoenaohtf et k Chine n’était pas encore divisfc^fiB^ariMtfl^M trois foyauvaes est o^uî des Um doCAov^klHjfaipBii inceactueUedejpieicA^MMf » ; 1 à toit empire des jtfoM de Siha.^^i MS-etfinîten 863^ Le tÉ-isièaievOppelé. l9^eif) ; OccupakferestedekGl9oe*iwéiMs^^ depuis 922 jusqu’en 380. Les FFei forent les Têin, qui soumirent aussi les deux autres ?  ?

« L’histoire de ces états fut réunie en un seul ?  ? vers la fin du iiie siècle par 壽陳 Tchhin cheou, d’après les annales de chacun d’eux. lhi# l’ouvrage contenait beaucoup d’erreurs, mais elles furent corrigées plus tard. Maintenant il fait partie du recueil des annales de l’empire, qui por— jmmA ib^iMlMl|l Nian eul sse ou les vingt-deux historiens.

Lorsque la dynastie mongole (Youan) régna en Chine, cette histoire de Tchhin cheou fut prise, par Lo kouan tchoung, pour base d’un roman historique