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un recueil savant de l’Allemagne (1). Quoique tous les livres en question fussent déjà suffisamment connus, soit par les ouvrages des anciens missionnaires français, soit par ceux de MM. Abel-Rémusat et Klaproth, on s’étonne que M. Neumann ait ccnniiip^ dans sa notice / des fautes assez ^ves pbnr ^mie M. : ie dfocteiir Kurz, de Munich, ait cru devoir m rak^ ver, • surtout, dit-il, parœ^^e pm d^pej^^ » Allemagne se sont^ jusqu’ici ^ occuoNéetyls (ajugne » et de la littérature chi|K>i9fs, et que ^ jpKi^W^ i quent, on pourrait bien prendre pour oertaîn « tq « t a I M, Nwnuhm a arancrf avec lajilBsgi — liff—pÉJUi » i| t Uo des livres mppoitéi pirM/dè ItauriMUt Smk hcÊÊm éM^-iXLsl’HùÉairm dêêikmù^ M. Neumana en parie’ « n ces tarpiea>tfalis. ai)MiÉMto « "S C<Bl la déUbre ^hialjoîrades g uwwniiw iiwppaèèiip b’<firi4ioo’d4’k43iiiM|an jbroia te^^ dive, eeki4lea « eooiMbdyb « B « n Aflw dbitfAaVMÉÉ ib » ir^, « ticcim dea^lTm^ dep#iî « râ^f « iifÉ|l SJ^7 de iioM^ iive. int>aBSleÉilittënlei « ieni avBO ëloge^dtf la bfuité du ityfe dati<uèi|i|jA ^^ S0US èe* rapport, oocupé^le frcoHap ilHgi |IMp bs pradqc^naiefav^^f^ptitedelÉiitflie^^ tion qui est sotas Hos ftiéi, berlmm pupjiiijiHiiÉii Mn titre ordimûrev cefai ils TV’t’IMMT iM|)ciihH| « feat^krdirej /V^neH mbroj^ Jn j)[im i il h " t^jj|li xlmriqHMi Les littérateurs chinois diffèrent d’opi-

(1) Cette notice a été réimprimée dans la Gazette d’État de Prusse, n.° 83 de l’année 1880.