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labftrah est ^^^ «s^^Y^. i» jhÊtb le mot 4X.|jJi , qnefemot J^ , qui dë l em i Ée fa ii|ÉH’ ficâtion. Le mot ^^ i fwicfg^ /ji ii iWMaj iie yi^l i i ^ gement, serment^ et e que le titre successeur reconnu , signi ^ à fa lettre , qn’H a ^^i ^ leprince rq^nuit, le droit fa Ats proche, le iTutlUÉl^i nwdmt à ïobUgmiioR de si nissmi et dTebfindMA^ contracta par fas sujets t il ft, en oèttè ^JBÉlMv reçu les sermens. *’ -’• ^ ^^rfffjp Puisque f ai paile ces its suiiatarab^etf >AMlf* ques auxquels aspî jrsdques

qu’ib appellent JW md ib sonfri

>«UU «ra/tM,Jo 1* fl t passes en devenus fixes et du I je renv eiiai M f^ qui voudraient se faire une idëe du pvfc^M’éitfVPT thousiastes y attachent, aux premibes {Mgee’*4lb ^ viage publié en arabe et en fatin par Bd. P< le titre dePhilosophùs autodidactuê, eldoiitt3.i a dcMinë une traduction angfaise en 1 709 ; iOU aussi connaître par fa lecture dé llntrodulAiiDfi^ losophe arabe, le sens du mot mlâyhtj quel a rendu en fatin par conjunctiù, et OcMey eif -çvr union. Tonte cette inati^e recevra/ f^-iflNIplil^ un nouveau jour par fa publication proôtiâiM ^m^9tm Icgomèneê de Djami ; dont je vien^ de citer un pllÉpr Ce morceau curieux que fai traduit en’|tlœlfl(i^^pP ; raltra, accompagné du texte persan et d*iin jglttMhîlkM^ bre de notq(5, dans le tome XII des Nâiitesêt èAmÊlb’ des numuseriU , do ession eMprdsqattdÉÉI née. ■■*■ ’■ ’■ • ■*« ! v^i : Miiivi/jrfi