munément les Tao szu, ou sectateurs de la doctrine du philosophe chinois Lao tsu : on ne les trouve pas dans le lexique de Schrœter.
གཤར་ char est le nom de l’écriture ordinaire ou cursive des Tubétains ; il manque dans le dictionnaire de leur langue publié à Serampore. On y cherche aussi en vain les mots :
ཁའི་གྲ་ k’hî dha, coins de la bouche.
ཀོ་ཀོ་ ko ko, menton.
མཁུར་པ་ k’hour pa, joues. Schrœter donne le mot composé མཁུར་ཚོས་ k’hour tsô, qui signifie pommettes des joues, et il le traduit par the cheek (joue).
མཆེ་བ་ tch’e bha, dents antérieures, est expliqué chez lui par « la dent d’un éléphant, l’ivoire ; » ce mot désigne aussi la trompe de l’éléphant. »
སྨ་ར་ ma ra, est barbe, et non pas the beard, the hair (la barbe ou les cheveux). Le mot qui signifie cheveu en tubétain est སྐྲ་ ta. Schrœter l’explique par voice (voix) ; cependant il donne bientôt après une phrase dans laquelle ta a la signification de cheveu : སྐྲ་ཁ་དོག་ལན་གསུཾ་ ta k’ha dhagh