raissent contenir plutôt les titres et les désignations de différentes manifestations de ces divinités, que leurs noms.
Quant à la grammaire, elle est, de l’aveu de M. Carey lui-même, très-courte et insuffisante en plusieurs points importans ; il y manque le temps passé du verbe être, la conjugaison d’un verbe passif, les observations sur les mots indéclinables, et la syntaxe. Néanmoins, ce morceau contribue à éclaircir divers points sur lesquels nous n’avions que des notions imparfaites.
Les éditeurs auraient dû avertir que M. Schrœter n’avait pas exactement suivi l’ordre de l’alphabet tubétain. Ils le disent à la vérité en passant, mais ils ne donnent pas une table de son système, ce qui aurait facilité la recherche des mots dans le dictionnaire. La suivante remédiera à cet inconvénient.
ཀ ka, page 1. | ཇ djha mêlé de ཛ dhza, p. 109. | |
ཁ k’ha, p. 4. | ཉ nya, p. 110. | |
ག gha, p. 22. | ཏ ta, p. 119. | |
ང nga, p. 70. | ཐ tha, p. 120. | |
ཅ tcha mêlé de ཙ tsa, p. 79 | ད dha, p. 132. | |
ཆ tch’a mêlé de ཚ thsa, p. 83. | ན na, p. 174. | |
པ pa, p. 183. |