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— XIII.
Autres observations pour reconnaître si les propositions sont universelles ou particulières
134
— XIV.
Des propositions où l’on donne aux signes le nom des choses
140
— XV.
De deux sortes de propositions qui sont de grand usage dans les sciences, la division et la définition, et premièrement de la division
145
— XVI.
De la définition qu’on appelle définition de choses
148
— XVII.
De la conversion des propositions, où l’on explique plus à fond la nature de l’affirmation et de la négation dont cette conversion dépend, et premièrement de l’affirmation
152
— XVIII.
De la conversion des propositions affirmatives
154
— XIX.
De la nature des propositions négatives
156
— XX.
De la conversion des propositions négatives
157
TROISIÈME PARTIE.
Du raisonnement.
ChapI.
De la nature du raisonnement et des diverses espèces qu’il peut y en avoir
159
— II. Division des syllogismes en simples et en conjonctifs, et des simples en incomplexes et en complexes
162
— III.
Règles générales des syllogismes simples et complexes
163
— IV.
Des figures et des modes des syllogismes en général, qu’il ne peut y avoir que quatre figures
168
— V.
Règles, modes et fondements de la première figure
171
— VI.
Règles, modes et fondements de la seconde figure
174
— VII.
Règles, modes et fondements de la troisième figure
177
— VIII.
Des modes de la quatrième figure
179
— IX.
Des syllogismes complexes, et comment on peut les réduire aux syllogismes communs et en juger par les mêmes règles
182
— X.
Principe général par lequel, sans aucune réduction aux figures et aux modes, on peut juger de la bonté ou du défaut de tout syllogisme
188
— XI.
Application de ce principe général à plusieurs syllogismes qui paraissent embarrassés
190
— XII.
Des syllogismes conjonctifs
194
— XIII.
Des syllogismes dont la conclusion est conditionnelle
199
— XIV.
Des enthymèmes et des sentences enthymématiques
203
— XV.
Des syllogismes composés de plus de trois propositions
204