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390 spectenrs a snrtout pour obiet de faire subir ¤ l’examen ti prescrit par Ia loi anx éleves qui désirent devenir mai- n tres d’école. n ll n’y a rien qu’on n’ait tenté, on qu’on ne propose, I pour en avoir d’excellents. ii Choix a faire par les inspectenrs, parmi les éleves qui •¤ se distingueront et qui voudront embrasser la carricre • de Yenseignement; it Enconragements et facilités pécuniaires aux jeunes ¤ gens des classes les moins fortunées, atin qu’ils se it vouent it un genre de vie si utile; it Perspective d’étre places, des qu’il y aura des vaca- • tures: 4 Gradatiom propres a servir d’aiguillon », c’est·a-· dire, passage d’nne école moindre anne école superieure, } ' de l’école d’un bourg a celle d’une ville, etc.; Q ¤ Rétributions tellement proportionnées a lenrs be-—

 it soins, qu’ils_ne soient plus dans la triste nécessité de
it se livrer a d’autres occupations, qui souvent prennent

E it snr les devoirs de leur profession, et diminuent leur ¢ zele, ete. » , Les anteurs du projet vondraient sagement borner l’in-· F struction élémentaire on Hollande, comme en France, ¤ a l ¤ lire, écrire et pratiquer les premieres operations de l’a— E ii rithmétique, outre le profond respect pour l’Etre su-· Q ti préme et le culte qui doit lui étre rendu. » Q Le ministre n’entend pas qu’il soit permis , dans les I écoles primaires, de donner aucune instruction sur les i dogmes de la religion, opinion que Ie roi partage, par res— pect pour la liberté des consciences. Seulement, ce qui est, dans le roi, respect profond, tendre scrupule et me- nagement délicat, semble étre, par-ci par-la , chez le mi— Dagmzcc by Gccgle , F i