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CHAPITRE V.

Je me lie avec un rentier qui voulait faire un voyage dans l’autre monde ; je lui porte des secours et j’obtiens sa confiance.



Pour nous délasser de nos travaux nous allions tous les soirs nous promener dans les jardins les plus éloignés. Celui des Plantes était celui où Sophie se plaisait davantage ; étant le plus isolé, il était aussi celui qui avait le plus de rapport avec nos goûts. Un jour entr’autres nous consacrâmes toute notre soirée à contempler les curiosités de ce