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mandant bien d’être sage, et d’être digne des bienfaits de monsieur le Comte.
Je me séparai de mon père nourricier, sans douleur et sans regrets ; l’idée d’être élevé au château du Seigneur de la Paroisse, avait remplacé mes autres affections, et la perspective qui m’offrait l’avenir, était trop brillante pour m’amuser à regretter mes occupations rurales, et je fis de bon cœur mes adieux à mes vaches et à mes oies, même aux pommes du voisin, dans l’espérance de trouver des dédommagemens dans ma nouvelle habitation.