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réunir ces deux avantages ; j’avais long-temps étudié le caractère du français, et je savais que le genre romanesque était le seul qui l’occupait sérieusement. Toutes les cheminées étaient couvertes de ces productions futiles ; tous les quais, toutes les promenades publiques, étaient tapissées de ces brochures nouvelles, et alors une bibliothèque n’eût pas été bien composée, si elle n’eût offert la collection des romans à la vogue. Cette passion pour les choses extraordinaires et pour les grands évènemens ne faisait pas l’éloge du siècle, mais le français fatigué de politique, ne se piquait pas alors d’érudition ; il ne voulait qu’être amusé, qu’on le fît