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m’accabla point ; il était sept heures du soir ; la nuit étendait déjà ses voiles sur l’horison, et l’obscurité allait favoriser notre entreprise. Ne perdons pas courage, dis-je au père de Sophie ; je sais où nous la trouverons. En parlant ainsi, nous arrivons à la porte du féroce Britannicus ; je savais qu’il était absent : je frappe avec assurance, une vieille femme vient m’ouvrir. Que veux-tu, me dit-elle d’une voix rauque. Je viens, lui dis-je, de la part de votre maître, chercher la jeune fille qu’il a confiée à votre surveillance. J’étais loin d’être certain qu’elle y fût, mais je payai d’impudence, et mon effronterie réussit. Cepen-